Les médecins ont longtemps associé la maladie d’Alzheimer à la vieillesse mais aujourd’hui, ils font volte-face. En effet, de nouvelles études démontrent que c’est dès l’âge de 40 ans que le stade silencieux de la maladie s’enclencherait. Vous ne vous en rendez pas compte. Ça ne fait pas mal. Mais une protéine commencerait à s’accumuler anormalement dans votre hippocampe, l’une des régions clés de la mémoire.
Cette protéine, c’est la bêta-amyloïde. Elle participe normalement au bon fonctionnement de notre système nerveux et se dégrade rapidement. Mais lorsqu’elle est produite en trop grandes quantités, elle peut former des amas appelés plaques qui étouffent les neurones. Plus tard, vers 70 ans, ces plaques se propagent dans l’ensemble des zones du cerveau et asphyxient l’aire de la parole, de la planification et de la compréhension… À ce stade, le diagnostic est posé et il est déjà trop tard.
Pourtant, il existe de nombreux signes avant-coureurs qui permettraient d’agir avant d’en arriver là. Mais faut-il bien savoir les identifier.
Les 10 troubles qui doivent donner l’alerte
Détecter ces petits troubles insidieux qui auraient pu donner l’alerte des mois, voire des années, avant le diagnostic final n’est pas chose facile.
En effet, ces troubles se traduisent souvent par des “instants Alzheimer” pris à la légère.
- Des perturbations de votre vie quotidienne : comme ne plus vous souvenir d’un prénom, avoir de plus en plus recours à un aide-mémoire, des notes, des rappels ou des membres de votre famille pour gérer vos tâches quotidiennes.
- Des difficultés à planifier ou à résoudre des problèmes : vous bloquez quelques secondes au moment d’additionner deux chiffres… Vous saisissez alors votre calculette et mettez du temps à vous familiariser avec les touches… Vous avez des difficultés à vous concentrer…
- Des difficultés à effectuer des tâches familières : vous observez de plus en plus de difficultés à suivre les tâches de votre quotidien… Il vous arrive même de brûler des feux rouges sans crier gare…
- Des confusions avec le temps ou le lieu : comme ne plus savoir pourquoi vous êtes rentré dans une pièce…
- Des difficultés à comprendre les images et relations spatiales : vous avez récemment des problèmes de vision… Vous avez du mal à évaluer les distances, les couleurs et les contrastes…
- Des problèmes d’expression orale : Rencontrez-vous des difficultés à trouver le mot juste sans qu’un proche ne vous vienne en aide ?
- Des objets égarés et la perte de la capacité à reconstituer le parcours : comme oublier où vous avez mis vos clés alors que vous les aviez en main il n’y a pas 5 minutes sans pouvoir reconstituer le parcours que vous avez fait jusque-là..
- Des jugements amoindris : vous reproche-t-on de raconter toujours les mêmes histoires, de radoter
- Des retraits du travail ou des activités sociales : vous commencez à vous retirer d’activités sociales, sportives ou bien encore de certains projets du travail…
- Des changements d’humeur ou de personnalité : votre état d’esprit a changé, vous êtes plus confus, soupçonneux, déprimé voire anxieux. Vous avez plus de mal à sortir de votre zone de confort..
Vous reconnaissez-vous parmi ces signes ?
Si c’est le cas, pas de panique, voici comment agir dès maintenant. Il existe en effet des moyens (des moyens « naturels », qui plus est…) pour combattre les signes précoces d’Alzheimer. Au lieu d’arriver au stade des médicaments qui souvent ne servent pas vraiment à grande choses (ce n’est pas une raison de ne pas les prendre à un stade avancé de la maladie), autant se prémunir en adoptant quelques habitudes simples. Des équipes de recherche indépendantes, réparties un peu partout dans le monde, font des avancées scientifiques de taille. Elles exhument des solutions naturelles non dangereuses, aux propriétés fascinantes et utilisables immédiatement pour lutter contre l’apparition la maladie. Des recherches démontrent, déjà, comment vous réduire de 60 % les risques de développer Alzheimer. Une étude américaine, datée du 17 juin dernier et menées sur un échantillon de 2 765 personnes âgées pendant 6 ans, apporterait déjà une lueur d’espoir et cite 5 habitudes à adopter. Les voici :
Habitude n°1 : adopter un régime “Méditerranéen”. Des lipides et acides gras, mais pas n’importe lesquels ! Le cerveau est constitué à 70 % de lipides et d’acides gras. Mais avec l’âge, ces nutriments viennent à manquer. Il est donc nécessaire de se supplémenter via des aliments riches en lipides comme les œufs, le soja, le tournesol, le colza, la levure et les arachides. Mais aussi des aliments riches en acides gras comme le foie de porc, le poulet , le cabillaud, le maquereau, le haricot, les sardines, l’anchois, le plancton et certaines huiles comme celle de lin, de colza, de chanvre et de graines de chia.
Habitude n°2 : pratiquer au moins 150 minutes par semaine d’activité sportive modérée à intense. En fait, notre cerveau est l’organe qui consomme le plus d’oxygène dans le corps et son taux d’oxygénation est avant tout la résultante de notre respiration. On apprend à bien respirer en ayant une activité physique régulière modérée ou intense, mais aussi simplement en méditant, en pratiquant quotidiennement des exercices de cohérence cardiaque, de sophrologie, des exercices de Qi Gong, ou bien encore de Tai Chi.
Habitude n°3 : : garder des activités cognitives simples. Malheureusement, à cause de la technologie, nous préférons aujourd’hui céder à des pense-bêtes, des calculettes, des ordinateurs, des post-it, autant de béquilles qui finissent par ramollir notre mémoire. Ici, la première des étapes est de se réapproprier notre mémoire en délaissant ces outils du quotidien qui nous empêchent de l’exercer convenablement.
Habitude n°4 : La population musulmane n’est au fait pas concernée par cette habitude. La consommation d’alcool y est prohibée. Bref, sinon, cette étude conseille de ne pas dépasser 1 à 15 grammes de consommation quotidienne d’alcool chez les femmes et 1 à 30 grammes chez les hommes. Il a été constaté une dépendance à l’alcool sur plus de 38,9 % des 57 353 patients atteints de démence entre 2008 et 2013 en France15. À l’inverse, une compilation d’études publiées entre 1978 et 2011 sur des sujets de plus de 65 ans a démontré qu’une consommation légère à modérée d’alcool, réduirait de 35 à 45 % le déclin cognitif en comparaison aux sujets qui choisissent l’abstinence16.
Habitude n°5 : ne pas fumer. Plusieurs études ont montré que la consommation de tabac était associée à une augmentation du risque de maladie d’Alzheimer en quelques années seulement.
Donc, si vous ressentez certains des signes avant-coureurs de la maladie vous savez ce qu’il vous reste à faire.
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